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4. Un aller simple pour la Chine.
Johann Schreck (1576-1630) était un ami de Galilée. Polymathe né à Bingen (Bade-Wurtemberg), son cursus d’études l’avait conduit à Freiburg, Paris où il a côtoyé François Viète, puis Padoue, à la rencontre de Galilée et enfin à Rome. Membre de l’Académie des Lynx, il était curieux de tout et s’intéressait aux récents développements des sciences : mathématiques, botanique, pharmacie, médecine et astronomie. En 1611, il s’engage dans la Compagnie de Jésus avant d’être sélectionné par Nicolas Trigault pour participer à la troisième mission des jésuites en Chine. Avant d’embarquer à Lisbonne en avril 1618, les missionnaires préparent soigneusement leur voyage par une tournée en Europe en quête de financement et de matériel à emporter.
C’est de cette époque que datent cette esquisse d’un portrait du missionnaire réalisée par Pierre-Paul Rubens (Anvers en 1617) et des lettres adressées à Giovanni Faber où Johann Schreck exprime à maintes reprises son désir de connaître les méthodes de prévision des éclipses solaires de ses amis Galilée et Remus Quietanus (l’astronome qui s’établira plus tard à Rouffach).
De 1612 à 1629, Giovanni Faber est chancelier (ou coordonnateur) de l’Académie des Lynx, un groupe de scientifiques qui se caractérisent par leur regard perçant. Fondé en 1603 par le prince Federico Cesi, cette communauté de scientifique regroupait des botanistes, astronomes et médecins qui misaient sur les récents développements des instruments optiques pour faire progresser les sciences. En 1609 Galilée avait pointé sa lunette en direction des corps célestes, faisant des découvertes telles que les phases de Vénus ou les satellites de Jupiter qui devaient renforcer ses convictions héliocentriques et son engagement à défendre les thèses de Nicolas Copernic. Faber, médecin de formation, était plus enclin à utiliser le microscope pour étudier les règnes animal et végétal. C’est lui, cependant, qui inventa le terme de « télescope » pour désigner la lunette astronomique.
Tour d’Europe
Johann Schreck fut coopté à l’Académie des Lynx en même temps que Galilée (1611) et il entretint une relation épistolaire avec Faber depuis lors. Au cours de sa tournée européenne avant son départ pour la Chine, il écrit régulièrement à Faber, lui donnant des nouvelles politiques et l’informant des préparatifs de l’expédition, mais dans ses lettres, une demande est récurrente et insistante : il voudrait connaitre les méthodes de calcul des éclipses (de Lune et de Soleil) de Galilée et de Remus Quietanus. Cela commence en 1616, dans une lettre de Milan le 18 mai :
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« De la part de Galilée, je voudrais seulement [connaître] la manière de calculer les éclipses de Soleil et de Lune, c’est-à-dire ses hypothèses du Soleil et de la Lune avant mon départ pour la Chine, et ce parce que je me doute que son calcul est de loin plus exact que celui de Tycho [1] . Il faut en avertir l’illustrissime prince Cesi, afin [que je puisse] savoir s'il y a quelque espoir, et, s'il n'y en a pas, qu'au moins avant mon départ il veuille bien me le communiquer sous n'importe quelle obligation (de secret) en vue du bien général de la propagation de la religion en Chine s’il pouvait me dire juste l’une ou l’autre éclipse à venir, pour que je voie combien son calcul diffère de ceux de Tycho ou de notre Remus (Quietanus), que je salue obligeamment ». [2]
De la part de Remus Quietanus, l’attente de Schreck est plus précise : il la formule une première fois dans une lettre à Faber le 20 novembre 1616 de Liège : « Il serait facile de faire imprimer le livret du Sire Remus à Francfort s’il pouvait être transmis à Johann Ziegler, le Mayençais… » Visiblement, Johann Schreck (Terrentius) sait que Quietanus a écrit un traité d’Astronomie. Pour nous, il ne fait pas de doute qu’il est question du Restitutio universalis motuum caelestium (1615), dont une copie du manuscrit se trouve aux archives de Rouffach depuis 2016 et qui recèle essentiellement des descriptions d’éclipses de Lune et de Soleil, avec quelques prévisions pour la décennie suivant 1615.
Ne voyant rien venir, Johann Schreck réitère sa demande le 24 février 1617 à Douai « Si le livret du Seigneur Remus est imprimé, [on pourra me] le déposer à Milan, où il sera facile de le transmettre de Rome. »
La demande sera reformulée à Munich, le 26 mai 1617 et encore à Madrid le 18 janvier 1618. « Je désirais beaucoup la théorie de la Lune du seigneur Remus, mais jusque-là, il n’a rien donné »
Dans son ultime lettre d’Europe, à Lisbonne, le 31 mars 1618 : il adresse à Faber une observation d’une très belle conjonction de Vénus avec la Lune [3] à communiquer à Remus Quietanus, tout en lui glissant que si on pouvait lui faire parvenir un ou deux exemplaires de son ouvrage, il en serait très reconnaissant.
L’Astronomie : un cheval de Troie
Comment expliquer ce besoin impérieux de calculer des éclipses de Soleil de la part d’un missionnaire en partance pour la Chine ? Ne devrait-il pas privilégier l’étude des Saintes Écritures pour se préparer à diffuser la Bonne Nouvelle à des peuples païens ?
Les jésuites romains ont bien compris que pour christianiser la Chine, ils ne pourraient pas appliquer les méthodes brutales des conquistadors espagnols du XVIe siècle aux Amériques. Les Chinois avaient une culture millénaire, ils savaient se défendre [4] et leur société était très hiérarchisée. Ils auraient tôt fait de repousser à la mer une poignée d’envahisseurs européens dont les agissements contreviendraient à l’autorité de l’Empereur. La christianisation de la Chine serait affaire de patience : il ne s’agissait pas de convertir quelques Chinois, mais de gagner la confiance du premier d’entre eux, de convaincre l’Empereur en personne !
Matteo Ricci (Macerata 1552-Pékin 1610) fut l’initiateur de cette méthode. Après avoir débarqué à Macao en 1583, il s’appliqua à lire et à écrire le chinois. Il parvint à se mettre en contact avec des mandarins grâce à ses grandes connaissances en mathématiques et en géographie. Il réussit à se faire inviter par l’empereur Wan-li. Dans ses bagages, il avait emporté une épinette, deux horloges à sonnerie et une carte du Monde de sa main.
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Cette carte est un résumé de la « méthode Ricci » : il a pris soin de la recomposer pour placer la Chine au Milieu et de l’annoter dans la langue de l’Empereur. Il ne demande rien, si ce n’est mettre au service de sa majesté, sa propre personne et les connaissances scientifiques qu’il a pu acquérir dans le « grand Occident », dont il était originaire.
La mission de Johann Schreck devait s’inscrire dans la même démarche. Parti de Lisbonne en avril 1618, son bateau doit faire face à mille dangers lors du périlleux contournement du continent africain [5], au cours duquel plusieurs de ses compagnons périssent, avant d’accoster au comptoir portugais de Goa en Inde le 4 octobre 1618. Là, Terrentius profite d’une escale réparatrice de quelques mois pour étudier la botanique. Il envoie aussi en Europe ses observations de deux comètes dont l’apparition au ciel a marqué la fin de cette année [6]. Il reprend la mer le 15 mai 1619 en compagnie de Nicolas Trigault pour accoster à Macao le 22 juillet.
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Enfin arrivé en Chine, Johann Schreck est fidèle à la méthode de Ricci : il commence par apprendre la langue du pays et s’emploie à traduire des ouvrages scientifiques et techniques. Depuis les premiers contacts de Ricci, des changements politiques ont eu lieu à la tête de l’empire, d’abord défavorables aux européens, mais en 1621 la situation s’éclaircit quelque peu et Schreck peut se rendre à Hangzhou avant d’atteindre Pékin en 1623. Dans des courriers adressés à Faber, il reformule ses attentes de la part de Galilée et Remus Quietanus :
« Si je pouvais obtenir du seigneur Remus . . . certaines choses sur le calcul des éclipses, rien ne me serait plus agréable » (Hangzhou, 26 août 1621) et il précise ses raisons quelques jours plus tard dans une lettre adressée au munichois Jacob Kohler : « La correction du calendrier est souverainement désirée par les Chinois, et ils n'ont point chez eux de maîtres suffisants pour ce travail. Les nôtres (les Jésuites) ont obtenu autrefois cela par écrit de l’Empereur. »
Ne voyant rien venir, Schreck-Terrentius finira, en 1623 par solliciter les jésuites allemands qui transmettront sa demande à Johannes Kepler… celui-ci répondra favorablement par l’envoi de ses tables rudolphines, ce qui se faisait de mieux en Europe en la matière ! Mais en ces temps, le courrier circule trop lentement entre l’Orient et l’Occident. Quand ces tables arriveront en Chine, Johann Schreck sera déjà décédé d’un essai pharmaceutique sur sa propre personne (Pékin, 1630) [7].
Entretemps, son plan a toutefois pu se réaliser : à l’occasion d’une éclipse de Soleil le 29 juin 1629, Schreck et son confrère Nicolò Longobardo firent une prévision plus précise que les astronomes chinois et l’empereur Chongzhen confia aux européens la mission de réformer le calendrier chinois. Ce travail fut assuré par les successeurs de Johann Schreck, Adam Schall von Bell et Giacomo Rhò.
Les silences de Galilée et de Remus Quietanus
Galilée aurait-il pu aider « son ami » Terrentius en lui faisant parvenir ses théories du Soleil et de la Lune ? Ce n’est pas sûr ! Après ses découvertes de 1609 et 1610, Galilée a pris ouvertement position pour le modèle copernicien du Monde qui plaçait le Soleil en son centre et reléguait la Terre au rang d’une planète comme les autres, circulant autour du Soleil (mouvement de révolution) tout en tournant sur elle-même autour de son axe (mouvement de rotation), mais Galilée n’avait pas étudié ces mouvements de près de façon quantitative. Il avait fait un choix cosmologique, mais je pense qu’il n’était pas en mesure de fournir à Schreck des données précises qui l’auraient aidé à mieux calculer les éclipses. D’ailleurs, il est assez clair qu’il ne l’a pas voulu.
En 1616, Galilée a été une première fois censuré par les autorités religieuses qui voyaient des incompatibilités entre la théorie copernicienne et certains écrits bibliques. Le cardinal Robert Bellarmin [8] lui notifia l’interdiction de diffuser les thèses héliocentriques, tout en l’autorisant à utiliser cette théorie à des fins calculatoires. Galilée n’était pas homme à faire des concessions, son système cosmologique était à prendre ou à laisser et après ce rejet de sa théorie, il s’était fâché contre la communauté jésuite toute entière et il s’en méfiait, sans doute à juste titre…
Le silence de Remus Quietanus est plus difficile à comprendre : l’étude de sa correspondance connue ne révèle aucune inimité à l’égard de Terrentius, au contraire plutôt une certaine estime [9] réciproque. Quietanus venait d’écrire son Restitutio universalis motuum caelestium (Rome 1615), un traité sur les éclipses et logiquement, il devait se sentir flatté que le jésuite lui accorde une telle importance. En revanche, Quietanus se trouvait peut-être dans l’impossibilité de lui en faire parvenir « un ou deux exemplaires », parce qu’à notre connaissance l’ouvrage n’a pas été imprimé. Cependant, cela n’explique pas l’absence de toute réponse aux demandes réitérées de Schreck : Quietanus est resté en relation épistolaire avec Faber jusqu’en 1622. Cette correspondance s’arrête ensuite, tout comme s’interrompt la correspondance avec Kepler de 1620 jusqu’en 1628.
On peut imaginer des difficultés d’acheminement du courrier dans une Europe en guerre, c’est la seule explication qui nous paraisse plausible. Enfin, on trouve aux archives de l’Académie des Lynx une lettre de Johann Schreck à Remus Quietanus avec les mentions Augsbourg ? 10 dicembre 1617. Cette classification est peu crédible si l’on se rappelle le parcours de la tournée européenne de Schreck décrit plus haut.
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En voici une traduction de bonne volonté :
« Très cher ami, Seigneur Johannes, la paix du Christ,
Le calcul de l'évanouissement de la Lune [10] que tu m’as récemment transmis me fut très agréable. J’ai reçu l’observation à Ingolstadt de cette même éclipse, mais comme nos bagages ne sont pas en ma possession, il ne m’est pas possible de te transmettre assez d’éléments. Puisse ce livre être imprimé dans sa totalité. J’ai écrit récemment, combien est grande la difficulté de transmettre des exemplaires à Rome. Pour cette impression, le Père Ziegler n’aurait évidemment eu aucune difficulté en Allemagne. Celui-ci veille avec grande attention à ce que les œuvres de Clavius soient imprimées et voudrait aussi imprimer celles de Viète, si seulement je pouvais avoir mes écrits qui ont disparu à Bâle. Je verrai à Anvers si on peut envoyer les écrits par la mer. Je préfère vraiment qu’ils soient imprimés à Rome en présence de l’auteur pour qu’ils soient édités sans erreur. Mais je ne vois pas les Romains libéraux pour une affaire comme celle-ci [11].J’ai vu récemment dans le palais du Prince Albert [12] une armille en verre à moitié remplie d’eau, et cette eau monte selon le cours de la Lune et de la mer tantôt ici, tantôt là, division par division [13]. Mais j’ignore quel en est le fonctionnement, c’est évident pour l’Archiduc, qui n’accepte pas facilement de le montrer au peuple.
Comme j’ai ta lettre en mains, j’ai voulu te répondre par ces petits mots. Si quelque chose d’autre se présente, je te l’enverrai en temps opportun. Jusque-là nous restons deux mois en Belgique et gagnerons Paris au début de Mars. Par cette lettre, je me recommande entièrement à toi et prie pour une nouvelle année très heureuse.
Exc. Serviteur en Christ. Joan Terrentius.
La date marquée au verso de la lettre n’est visiblement pas de la main de l’auteur et il est quasiment impossible que Schreck annonce en décembre 1617 qu’il sera à Paris en mars de l’année suivante puisqu’on le retrouve à Madrid en janvier 1618 et à Lisbonne en mars, où il doit embarquer.
Plus raisonnablement, on peut penser que cette lettre a été envoyée à la fin de l’année 1616 en Belgique puisque les propos reprennent ce que Schreck a écrit à Faber le 20 novembre 1616 à Liège. Par ailleurs, il n’est pas sûr que Remus Quietanus ait jamais lu cette lettre, la seule lettre qui lui est adressée et qui soit conservée à Rome. Y est-elle restée en carafe ?
La biographie de Johann Schreck-Terrentius a beaucoup été étudiée ces dernières années et on a vu à la télévision un film en 2 parties sur les expéditions des missionnaires jésuites en Chine [14]. Celle de notre astronome rouffachois est comme un puzzle qui se complète petit à petit mais il reste encore bien des pièces manquantes.
Jacques Mertzeisen, mai 2021.
Je remercie Joseph Chan qui a attiré mon attention sur l’histoire de Terrentius et m’a fourni des indications documentaires ainsi que Jean Gemberlé pour son aide à la lecture du latin.
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- 1. Portrait d’un jésuite en costume chinois, Anthony van Dick ou Pierre-Paul Rubens, 1617, Morgan Pierpont Library & Museum, New-York. Les identités du missionnaire et de l’auteur de l’esquisse sont discutées. Selon son biographe Erich Zettl, il s’agit de Johann Schreck.
- 2. Extrait d’une lettre de Johann Schreck à Giovanni Faber envoyée à Milan le 18 mai 1617, Accademia Nazionale dei Lincei, Rome. Accessible en ligne.
- 3. La carte sinocentrique de Matteo Ricci dans une version de 1602.
- 4. Schéma des huit quotients trigonométriques utiles en topographie, cartographie, astronomie, Johann Schreck, Adam Schall von Bell, 1631.
- 5. Accademia Nazionale dei Lincei, Rome, Lettre de Johann Schreck à Johannes Remus Quietanus. Accessible en ligne.
Bibliographie et sources :
- Erich Zettl, Johannes Schreck-Terrentius, Wissentschaftler und China-Missionar (1576-1630), HTWG Constance 2008. Accessible en ligne.
- Rainer K. Langner, Kopernicus in der verbotenen Stadt, Fischer 2007. Biographie romancée de Johann Schreck.
- Bertrand Galimard-Flavigny, La tulipe noire de la cartographie de Matteo Ricci, Canal Académie 2009. Accessible en ligne.
- Henri Bernard S.J., L’encyclopédie astronomique du Père Schall, la réforme du calendrier chinois, Monumenta Serica Vol. 3, 1938. pages 35-77 et 441-527
- Johannes Remus Quietanus, Restitutio Universalis motuum Caelestium, manuscrit, Rome 1615, Biblioteca Casantense, Rome, MS 1582. Copie consultable aux Archives Municipales de Rouffach.
- Archives de l’Accademia Nazionale dei Lincei, Rome, Lettres de Johann Schreck à Giovanni Faber. Accessibles en ligne.
Notes:
- [1] Tycho Brahe, astronome danois au service de l’empereur Rodolphe du Saint-Empire, très renommé à son époque. Tycho avait fait des relevés astronomiques durant plus de 30 ans et préconisait un système géo-héliocentrique. Kepler, son successeur auprès de l’empereur utilisa ses travaux pour donner une description correcte des mouvements des planètes dans un système héliocentrique.
- [2] Traduit du latin sans garantie d’exactitude (Jacques Mertzeisen). Idem pour les citations suivantes.
- [3] Voir « Vénus semblait chevaucher la Lune », Obermundat, janvier 2019.
- [4] Les Chinois ont inventé la poudre !
- [5] Voir R.K. Langner, Kopernicus in der verbotenen Stadt.
- [6] Remus Quietanus a observé ces mêmes comètes à Innsbruck et envoyé à Galilée ses Observationes duorum cometarum… Voir Léopold de Habsbourg, la grande comète de 1618 sur Obermundat.
- [7] Les tables rudolphines ne sont arrivées en Chine qu’en 1646 ! Schreck est mort le 13 mai 1630 après avoir ingéré un médicament ; voulait-il se soigner d’une maladie ou faire un essai pharmaceutique ? Les circonstances ne sont pas claires. R.K. Langner suggère que ses confrères auraient pu l’aider à mourir, mais je n’y cois pas beaucoup, il s’agit là d’un artifice littéraire pour appâter le lecteur. J.M.
- [8] Je ne peux pas me résoudre à l’appeler Saint Bellarmin, bien qu’il ait été canonisé en 1930 : voir Robert Bellarmin — Wikipédia (wikipedia.org)
- [9] Voir « Vénus semblait chevaucher la Lune », Obermundat, janvier 2019
- [10] Il veut parler de la dernière éclipse de Lune, vraisemblablement celle de la nuit du 26 au 27 août 1616.
- [11] Allusion à la censure prononcée à l’encontre de Galilée ?
- [12] Albert d’Autriche, souverain des Pays-Bas méridionaux avec son épouse et cousine Isabelle d’Espagne.
- [13] S’agit-il d’un dispositif qui permet d’illustrer les lunaisons ou les marées ?
- [14] Chine, l’empire du temps, sur arte en juin 2018.
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